Article

Quand ce n’est pas juste un baby blues

Beaucoup de parents ressentent des bouleversements passagers de l’humeur à la naissance d’un enfant, c’est ce qu’on appelle aussi le “baby blues”. Mais une partie de nouveaux parents se retrouve, elle, confrontée à une autre réalité : la dépression périnatale. Une maladie potentiellement grave mais qui peut être soignée. Malheureusement, une minorité des cas seulement sont repérés et traités. La stigmatisation persistante au sujet de la santé mentale, exacerbée dans les semaines “postpartum” qui suivent la naissance, explique en grande partie cet écart.

27
September
2023
Article

Quand ce n’est pas juste un baby blues

Beaucoup de parents ressentent des bouleversements passagers de l’humeur à la naissance d’un enfant, c’est ce qu’on appelle aussi le “baby blues”. Mais une partie de nouveaux parents se retrouve, elle, confrontée à une autre réalité : la dépression périnatale. Une maladie potentiellement grave mais qui peut être soignée. Malheureusement, une minorité des cas seulement sont repérés et traités. La stigmatisation persistante au sujet de la santé mentale, exacerbée dans les semaines “postpartum” qui suivent la naissance, explique en grande partie cet écart.

27
September
2023
Article

Quand ce n’est pas juste un baby blues

Beaucoup de parents ressentent des bouleversements passagers de l’humeur à la naissance d’un enfant, c’est ce qu’on appelle aussi le “baby blues”. Mais une partie de nouveaux parents se retrouve, elle, confrontée à une autre réalité : la dépression périnatale. Une maladie potentiellement grave mais qui peut être soignée. Malheureusement, une minorité des cas seulement sont repérés et traités. La stigmatisation persistante au sujet de la santé mentale, exacerbée dans les semaines “postpartum” qui suivent la naissance, explique en grande partie cet écart.

27
September
2023
Ressources
Article

Quand ce n’est pas juste un baby blues

Beaucoup de parents ressentent des bouleversements passagers de l’humeur à la naissance d’un enfant, c’est ce qu’on appelle aussi le “baby blues”. Mais une partie de nouveaux parents se retrouve, elle, confrontée à une autre réalité : la dépression périnatale. Une maladie potentiellement grave mais qui peut être soignée. Malheureusement, une minorité des cas seulement sont repérés et traités. La stigmatisation persistante au sujet de la santé mentale, exacerbée dans les semaines “postpartum” qui suivent la naissance, explique en grande partie cet écart.

27
September
2023
Ressources
Article

Quand ce n’est pas juste un baby blues

Beaucoup de parents ressentent des bouleversements passagers de l’humeur à la naissance d’un enfant, c’est ce qu’on appelle aussi le “baby blues”. Mais une partie de nouveaux parents se retrouve, elle, confrontée à une autre réalité : la dépression périnatale. Une maladie potentiellement grave mais qui peut être soignée. Malheureusement, une minorité des cas seulement sont repérés et traités. La stigmatisation persistante au sujet de la santé mentale, exacerbée dans les semaines “postpartum” qui suivent la naissance, explique en grande partie cet écart.

27
September
2023
Ressources
Article

Quand ce n’est pas juste un baby blues

Beaucoup de parents ressentent des bouleversements passagers de l’humeur à la naissance d’un enfant, c’est ce qu’on appelle aussi le “baby blues”. Mais une partie de nouveaux parents se retrouve, elle, confrontée à une autre réalité : la dépression périnatale. Une maladie potentiellement grave mais qui peut être soignée. Malheureusement, une minorité des cas seulement sont repérés et traités. La stigmatisation persistante au sujet de la santé mentale, exacerbée dans les semaines “postpartum” qui suivent la naissance, explique en grande partie cet écart.

27
September
2023
Ressources
Article

Quand ce n’est pas juste un baby blues

Beaucoup de parents ressentent des bouleversements passagers de l’humeur à la naissance d’un enfant, c’est ce qu’on appelle aussi le “baby blues”. Mais une partie de nouveaux parents se retrouve, elle, confrontée à une autre réalité : la dépression périnatale. Une maladie potentiellement grave mais qui peut être soignée. Malheureusement, une minorité des cas seulement sont repérés et traités. La stigmatisation persistante au sujet de la santé mentale, exacerbée dans les semaines “postpartum” qui suivent la naissance, explique en grande partie cet écart.

27
September
2023

> Un article co-écrit avec le Dr Nathalie Nanzer, responsable d’unité de guidance infantile aux Hôpitaux Universitaires de Genève.

Baby blues ou dépression périnatale?

On confond souvent les deux, et pourtant il y a une distinction importante. Alors que le baby blues, considéré comme une perturbation de l’humeur (non pathologique) ne dure que quelques jours, la dépression périnatale, elle, est une maladie d’intensité variable dont les symptômes dépressifs peuvent durer entre quelques semaines et plusieurs années. Elle nécessite une prise en charge précoce, au risque de devenir récurrente. La dépression périnatale peut en effet être le début d’une série d’épisodes dépressifs répétitifs entrecoupés de périodes sans symptômes. Et lors d’une grossesse ultérieure, elle présentera 30% à 50% de risque de récidive. Bien que la dépression périnatale soit de mieux en mieux connue, le problème est qu’elle n’est détectée que dans une minorité des cas. Et pourtant, elle constitue LA complication la plus fréquente de la grossesse.

Le tabou, un obstacle majeur au diagnostic

Pourquoi la dépression périnatale est-elle chroniquement sous-diagnostiquée? D’abord, pendant cette période, les femmes sont moins en contact avec le corps médical, alors que pendant la grossesse, elles avaient des rendez-vous réguliers de contrôle. Après l’accouchement, c’est en général le bébé qui accapare la majeure partie de leur attention, et elles sont plus réticentes à être aidées, ou alors elles ne reconnaissent pas les symptômes, attribuant leur état à la nouveauté de l’arrivée du bébé.

Parfois aussi, la femme ne sait pas où s’adresser pour trouver de l’aide. Elle voit le pédiatre de l’enfant, mais pense que ce n’est pas le lieu pour parler d’elle. Et si elle se décide à consulter, elle tend à minimiser ses symptômes et à mettre en avant des signes plus « acceptables » tels que la fatigue, les douleurs, les troubles du sommeil. Mais c’est surtoutle tabou lié à la santé mentale qui empêche souvent une prise en charge. Lorsque la femme prend conscience qu’elle a besoin d’aide, elle n’ose pas toujours en demander.

La crainte de ne pas être une bonne mère, d’être cataloguée de malade mentale ou jugée incapable de s’occuper de son bébé est souvent présente. Sans doute est-il inconcevable d’être déprimée alors que l’image convenue et idéalisée de la jeune mère est celle d’une femme comblée ?

La dépression fait peur ! Non seulement à la personne qui la vit, mais également aux professionnel.le.s de la santé peu habitué.e.s à prendre en charge des patient.e.s déprimé.e.s. En théorie, chacun.e sait qu’il s’agit d’une maladie, indépendante de la volonté et qui provoque beaucoup de souffrance. Cependant, le spectre de la maladie mentale fait peur, la folie n’est jamais très loin dans les fantasmes.

Une façon de se défendre contre cette peur consiste à rendre la personne malade fautive de ce qui lui arrive : « Avec plus de volonté elle n’en serait pas là ! », « A force de tout voir en noir, elle provoque son propre malheur ! », « Elle n’aurait pas dû faire un enfant si vite ! »

Cette peur peut également provoquer une réaction de déni qui touche également le personnel médical peu habitué à diagnostiquer les maladies psychiques. Combien de médecins pensent à demander à leurs patientes enceintes si elles se sentent tristes, déprimées ou angoissées ? Et s’ils le font, osent-ils ensuite approfondir la question plutôt que de la balayer d’un : « C’est normal, vous êtes enceinte ! Cela passera quand vous serez un peu moins stressée. » Pourtant, une oreille attentive et un moment d’écoute permettent souvent de diminuer leurs craintes et leur sentiment de solitude.

Et les pères?

Environ 10% des hommes vivent les mêmes moments de désarroi et d’incompréhension lorsqu’ils deviennent pères. Ils sont souvent encore moins informés sur cette maladie que les femmes et éprouvent d’autant plus de difficultés et de gêne à se confier. Les hommes vivent eux aussi une crise identitaire à l’heure de devenir pères.

La vie émotionnelle des nouveaux pères et les obstacles qu’ils peuvent rencontrer dans le processus complexe menant à la paternité ont été peu étudiés. Mal connue et souvent masquée, la dépression périnatale du père est rarement diagnostiquée.

La paternité, un enjeu crucial ! Oui à l’existence d’un congé paternité en Suisse

Quelles conséquences pour l’enfant?

A sa naissance, le bébé n’est pas encore un être mature et autonome. Il a besoin des soins et des interactions avec l’adulte pour se développer et se constituer un sentiment d’identité. Dans les premiers temps de sa vie, c’est le contact dual, régulier et privilégié avec un.e « autre » qui est primordial dans son développement. Et dans la grande majorité des cas, l’autre, c’est le parent.

Plus d’une dizaine d’études documentent clairement les répercussions de la périnatale maternelle sur les enfants qui manifestent leur souffrance par différents maux physiques ou psychiques. Cela se manifeste d’abord par des troubles de l’alimentation ou du sommeil par exemple, et en grandissant des troubles du comportement ou de l’humeur peuvent aussi apparaître et influencer les capacités sociales et cognitives de l’enfant.

Les pédiatres et pédopsychiatres sont ainsi en première ligne pour détecter ces dépressions, car c’est souvent le suivi de l’enfant qui attire l’attention sur les difficultés du parent. Heureusement, le traitement de la dépression périnatale permet souvent une évolution positive à long terme des difficultés de l’enfant : amélioration de la relation mère-enfant, amélioration du fonctionnement global de l’enfant, de son comportement, ou encore de ses capacités cognitives et émotionnelles.

J’aimerais que la société porte autant d’attention à la santé psychique des familles qu’à leur santé somatique, et sans tabou!
interview avec Nathalie Nanzer

La détection précoce, un enjeu crucial !

La dépression périnatale n’est pas une fatalité. Vite repérée, elle peut être soignée efficacement, empêchant ainsi la formation de séquelles à long terme. Les professionnel.le.s de la santé doivent activement prendre en compte l’existence de cette maladie et être prêt.e.s à la repérer lors des consultations. Un bon entourage, sensibilisé à la question, est aussi important. Enfin, les personnes avec des antécédents psychiatriques devraient avoir un suivi thérapeutique pendant la période délicate du postpartum.

Le travail conséquent d’information et de dépistage qui reste à faire ne pourra toutefois être utile que s’il est accompagné d’une dé-stigmatisation de la santé mentale et de la souffrance psychologique.

Une grande partie des signes et symptômes de la dépression périnatale se retrouve, à un faible degré, chez tous les nouveaux parents. C’est l’intensité, la présence de plusieurs des signes dépressifs et surtout leur persistance durant pus de deux semaines qui doivent attirer l’attention. À partir du moment où une personne “se sent mal”, que cela dure, qu’elle n’en comprend pas les raisons ou que les symptômes l’inquiètent, il est important qu’elle demande un avis professionnel!

On peut tou·tes avoir besoin de consulter un professionnel·le quand…

  • On se sent mal dans sa peau sans raison objective.
  • On se sent régulièrement inquiète face à l’arrivée de cet enfant.
  • Des choses de notre passé viennent nous tourmenter et nous empêchent de vivre sereinement le moment présent.
  • Nos émotions nous débordent et on ne les comprend pas.
  • Nos réactions nous étonnent, nous inquiètent et on ne se reconnait plus.
  • Nous avons le désir de mieux comprendre ce qui se passe en nous…
Partager la ressource

Sur le même thème

Blog title heading will go here

Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Suspendisse varius enim in eros.
Podcast
11 Jan 2022
5 min read

Comment favoriser le bon développement de l'enfant dans les premières années de la vie ?

Les infographies de minds permettent de mieux comprendre les problématiques et les déterminants de la santé mentale avec du contenu accessible et fondé scientifiquement. Elles synthétisent en image des informations et concepts clés de la santé mentale avec des messages forts et des chiffres clés. Cette infographie est issue du dossier « La santé mentale, dès le départ, ça compte ! ».
Infographie
11
January
2024
min de lecture

Protéger la santé mentale dès les premières années de la vie

Les infographies de minds permettent de mieux comprendre les problématiques et les déterminants de la santé mentale avec du contenu accessible et fondé scientifiquement. Elles synthétisent en image des informations et concepts clés de la santé mentale avec des messages forts et des chiffres clés. Cette infographie est issue du dossier « La santé mentale, dès le départ, ça compte ! ».
Infographie
11
January
2024
min de lecture

Les compétences psychosociales, un passeport pour la vie

Les infographies de minds permettent de mieux comprendre les problématiques et les déterminants de la santé mentale avec du contenu accessible et fondé scientifiquement. Elles synthétisent en image des informations et concepts clés de la santé mentale avec des messages forts et des chiffres clés. Cette infographie est issue du dossier « La santé mentale, dès le départ, ça compte ! ».
Infographie
20
February
2024
min de lecture

Minds te parle : des signaux de souffrance

Tabous, clichés, stéréotypes, informations essentielles... avec les "minds te parle", on déconstruit les idées reçues sur la santé mentale ! Nous vivons toutes et tous des moments de stress, d’anxiété, de dépréciation, de panique ou de désespoir. La plupart du temps, ces sentiments ne durent pas. Mais parfois ils peuvent s’installer et devenir des problèmes plus sérieux. Le bien-être et la souffrance cohabitent tout au long de la vie, que l’on vive ou non avec un trouble psychique. On peut n’avoir aucune maladie psychique sans pour autant se sentir bien dans sa peau. A l'inverse, on peut vivre avec un trouble physique et avoir une bonne santé mentale.
Vidéo
08
February
2024
min de lecture

Osons en parler !

Lorsque ça ne va pas mentalement, il est difficile d’oser se confier et de chercher de l’aide. Les pensées suicidaires et les souffrances psychiques sont souvent passées sous silence. Les chiffres sont le reflet de l’ancrage de ce tabou dans notre société. 29,1% des jeunes ne confient leurs problèmes à personne alors qu’un jeune sur cinq a déjà eu des pensées suicidaires. Le silence autour du suicide entretient l’ignorance vis-à-vis de la thématique et par conséquent les idées reçues qui y sont liées. Les personnes concernées sont ainsi confrontées à un sentiment d’isolement face à leur souffrance. Briser le tabou autour du suicide est primordial pour la prévention afin d’ouvrir le dialogue et savoir repérer les signaux d’alerte. Comment libérer la parole autour du suicide afin de lutter contre ce tabou ?
Article
27
September
2023
min de lecture

Souffrance psychique, et si on arrêtait de culpabiliser ?

La souffrance fait partie de la vie. Cette phrase peut paraître banale, mais nous avons parfois de la peine à l’accepter dans notre quotidien, surtout quand il s’agit de souffrance psychologique. La santé mentale se définit par un état de bien-être, selon l’OMS, mais il ne faut pas oublier que celui-ci fluctue tout au long de notre vie. Il est donc normal de ressentir, parfois, de la souffrance mentale. Et pourtant nous avons souvent tendance à nous sentir coupable de notre propre mal-être. Mais pourquoi ?
Article
27
September
2023
min de lecture

Un acte de courage

Demander de l’aide peut paraître simple : après vous être blessé·e, vous décidez de vous rendre chez un·e médecin pour être soigné·e. Une décision logique, puisque vous n’avez pas les compétences requises pour vous soigner vous-même. Pourquoi est-il alors si difficile de demander de l’aide lorsque la blessure est d’ordre psychologique ?
Article
01
October
2023
min de lecture

Retrouver l’équilibre

Notre état mental change tout au long de la vie. Nous passons par autant de maux et de douleurs que de périodes heureuses ou sereines. Cela est valable pour les personnes en bonne santé, comme pour celles atteintes d’un trouble psychique. A certains moments de la vie, nous sommes plus à même de faire face aux tensions de la vie, tandis qu’à d’autres moments, ces épreuves nous paraissent insurmontables. Cependant, tout comme pour les maladies physiques, il est possible de se rétablir d’un moment de crise psychologique et de retrouver un équilibre.
Article
27
September
2023
min de lecture

Focus sur la dépression: bien plus qu’un coup de blues

S’il n’est pas dans nos habitudes de parler de maladie lorsque nous parlons de santé mentale, il nous a semblé essentiel de faire le point sur l’une des maladies les plus répandues au monde : la dépression. Pourquoi ? Parce que cette maladie catalyse bon nombre des idées reçues et des tabous persistants concernant la santé mentale, qui mènent la vie dure à celles et ceux qui en souffrent.
Article
01
October
2023
min de lecture

Les hommes AUSSI ont une santé mentale

Un homme* se doit d’être solide, de ne pas pleurer et de protéger ses proches. Des clichés dangereux, qui font passer les hommes pour des robots sans émotion, et dont le bien-être psychique ne compte pas. Pourtant, eux aussi, ont une santé mentale ! S’il est vrai que statistiquement, les femmes souffrent plus de troubles psychiques que les hommes (lire notre article sur le sujet), cela ne signifie pas pour autant que ces derniers ne souffrent pas. Il est par ailleurs probable que les problèmes de santé mentale des hommes soient sous-évalués.
Article
13
February
2024
min de lecture

La famille sous toutes ses formes

Dans l’imaginaire collectif, la mère biologique est souvent considérée comme la principale source d’amour et d’attachement pour un bébé. Si, dans beaucoup de cas, les mères jouent effectivement un rôle important dans la vie de leur enfant, la réalité est bien plus diverse.
Article
29
September
2023
min de lecture

Qui est normal·e ?

La distinction usuelle qui est faite entre une personne saine et une personne atteinte de troubles psychiques repose en partie sur la notion de norme. Certaines personnes seraient dans la norme, et d’autres pas. Mais qu’est-ce que la norme? Est-ce que le fait de ne pas être atteint·e d’un trouble psychique suffit à faire de nous une personne “normale”?
Article
01
October
2023
min de lecture

Maladie psychique et normalité - LE RECAP

Un petit aperçu en vidéo du minds talk #03, où nous avons discuté de normalité et de maladie psychique avec nos passionnants intervenants, Thomas Rathelot, psychiatre, et Nathan Hofstetter, cinéaste et réalisateur du film Loulou - le film. Ils ont apporté leur éclairage dans le cadre de notre dernier talk, organisé en partenariat avec Fondation Trajets et les Hôpitaux Universitaires de Genève.
Vidéo
21
September
2023
min de lecture

Quel regard portons-nous sur la souffrance psychologique ?

Testez vos connaissances sur la santé mentale et la souffrance psychologique avec un QUIZ !
Quiz
21
September
2023
min de lecture

Qui est différent·e ?

Y a t-il les malades d’un côté et et les personnes saines de l’autre côté ? Est-on malade ou en bonne santé, sans aucune possibilité de nuances ou de changements, comme un état gravé dans le marbre ? La stigmatisation des troubles mentaux trouve en partie ses origines dans cette idée reçue selon laquelle les personnes malades seraient des personnes à part.
Article
02
January
2024
min de lecture

Oser s'attacher - L'INTEGRAL

Dans la continuité du dossier "Dès le départ!" qui met en lumière l'influence déterminante des premières années de la vie sur notre santé mentale, les minds talks reviennent avec un sujet passionnant : Que se passe-t-il quand un enfant grandit hors du schéma parental classique? Comment oser l’attachement dans un foyer ou dans une famille d’accueil? Et si le placement était à la fois un défi et une ressource? Les premières années de la vie sont celles où se construisent les jalons fondateurs pour le développement d’un enfant. Dès le départ, il y a l’attachement, ce lien indispensable qui va influencer toute notre vie relationnelle et émotionnelle. Dans ce talk nous questionnerons les liens entre petite enfance, attachement, placement, et santé mentale.
Vidéo
10
October
2023
min de lecture

Oser s'attacher - LE RECAP

2'30 minutes pour comprendre la thématique de notre dernier talk - Oser s’attacher : grandir en famille d’accueil ou en foyer - avec les moments clés et de la soirée et les témoignages de nos participant.es
Vidéo
10
October
2023
min de lecture

Faut en parler !

Le suicide… Faut en parler ! C’est avec cette conviction que minds et Stop Suicide, se sont associées en 2022 pour créer 4 épisodes de podcast inédits. Des témoignages francs et touchants, qui brisent les tabous entourant la santé mentale et le suicide. Ces témoignages sont complétés par 4 articles abordant des thématiques transversales et enrichis d’interviews de professionnel·les du domaine.
Podcast
27
October
2023
min de lecture