La santé mentale, un passeport pour la vie !
Les premiers moments comptent. Jusque dans les années 80, on a cru, à tort, que le bébé n’avait pas de vie psychique. Or, entre zéro et deux ans environ, la vitesse de développement du cerveau est stupéfiante : le cerveau d’un bébé peut former plus d’un million de nouvelles connexions neuronales toutes les secondes ! Une rapidité qui ne sera plus jamais égalée. Dans ce processus, l’attachement joue un rôle fondamental.
La santé mentale, un passeport pour la vie !
Les premiers moments comptent. Jusque dans les années 80, on a cru, à tort, que le bébé n’avait pas de vie psychique. Or, entre zéro et deux ans environ, la vitesse de développement du cerveau est stupéfiante : le cerveau d’un bébé peut former plus d’un million de nouvelles connexions neuronales toutes les secondes ! Une rapidité qui ne sera plus jamais égalée. Dans ce processus, l’attachement joue un rôle fondamental.
La santé mentale, un passeport pour la vie !
Les premiers moments comptent. Jusque dans les années 80, on a cru, à tort, que le bébé n’avait pas de vie psychique. Or, entre zéro et deux ans environ, la vitesse de développement du cerveau est stupéfiante : le cerveau d’un bébé peut former plus d’un million de nouvelles connexions neuronales toutes les secondes ! Une rapidité qui ne sera plus jamais égalée. Dans ce processus, l’attachement joue un rôle fondamental.
La santé mentale, un passeport pour la vie !
Les premiers moments comptent. Jusque dans les années 80, on a cru, à tort, que le bébé n’avait pas de vie psychique. Or, entre zéro et deux ans environ, la vitesse de développement du cerveau est stupéfiante : le cerveau d’un bébé peut former plus d’un million de nouvelles connexions neuronales toutes les secondes ! Une rapidité qui ne sera plus jamais égalée. Dans ce processus, l’attachement joue un rôle fondamental.
La santé mentale, un passeport pour la vie !
Les premiers moments comptent. Jusque dans les années 80, on a cru, à tort, que le bébé n’avait pas de vie psychique. Or, entre zéro et deux ans environ, la vitesse de développement du cerveau est stupéfiante : le cerveau d’un bébé peut former plus d’un million de nouvelles connexions neuronales toutes les secondes ! Une rapidité qui ne sera plus jamais égalée. Dans ce processus, l’attachement joue un rôle fondamental.
La santé mentale, un passeport pour la vie !
Les premiers moments comptent. Jusque dans les années 80, on a cru, à tort, que le bébé n’avait pas de vie psychique. Or, entre zéro et deux ans environ, la vitesse de développement du cerveau est stupéfiante : le cerveau d’un bébé peut former plus d’un million de nouvelles connexions neuronales toutes les secondes ! Une rapidité qui ne sera plus jamais égalée. Dans ce processus, l’attachement joue un rôle fondamental.
La santé mentale, un passeport pour la vie !
Les premiers moments comptent. Jusque dans les années 80, on a cru, à tort, que le bébé n’avait pas de vie psychique. Or, entre zéro et deux ans environ, la vitesse de développement du cerveau est stupéfiante : le cerveau d’un bébé peut former plus d’un million de nouvelles connexions neuronales toutes les secondes ! Une rapidité qui ne sera plus jamais égalée. Dans ce processus, l’attachement joue un rôle fondamental.
C’est entre 1 et 5 ans qu’apparaissent pour la première fois certains troubles psychologiques, parmi lesquels:
Comprendre, prévenir, encourager, agir, dès le départ, c’est donc influer de manière décisive sur l’avenir d’un·e enfant et mettre toutes les chances de son côté !
Dès le départ, ça compte
Le développement du cerveau de l'enfant est étroitement lié à sa vie affective et les liens créés pendant la petite enfance ont une influence à long terme sur son comportement : sa capacité à apprendre, à résoudre des problèmes ou encore à entrer en relation avec l’autre. Ses compétences de vie en d’autres termes.
Ici le mot “compétence" doit être compris comme un terme scientifique car il serait absurde de parler de compétence ou d’incompétence à vivre. Nous pouvons développer nos aptitudes tout au long de la vie, être bon·nes ou moins bon·nes dans certains domaines sans pour autant que cela nous rende “incompétent·es”!
« Ces premiers moments du développement cérébral auront une influence significative sur la capacité de l’enfant et une fois adulte, à gagner sa vie et à contribuer à la société, et même sur son bonheur futur »
– Les premiers moments comptent – UNICEF
Les clés de la réussite?
On sait aujourd’hui que les enfants qui bénéficient, dès leur plus jeune âge, d’une relation sécurisante avec leurs parents et leurs proches ont de grandes chances de développer de bonnes compétences de vie – sociales, émotionnelles et cognitives.
« Pendant ses jeunes années, l’enfant peut ainsi remplir son sac à dos de compétences utiles qui l’accompagneront tout au long de sa vie. Les jalons décisifs pour l’égalité des chances sont posés pendant cette phase. La petite enfance est donc le champ d’action le plus important dans le travail de prévention et de promotion de la santé. »
– Martin Hafen
Dans notre “maison psychique”, l’attachement représenterait en quelque sorte les fondations et les compétences de vie en seraient les murs, les fenêtres et le toit. Plus ils sont solides, plus nous pouvons grandir, nous épanouir et traverser les épreuves de la vie avec résilience.
Il existe 3 grandes catégories de compétences psychosociales
Les compétences psychosociales favorisent, entre autres:
- L’adaptation sociale
- La réussite scolaire
- La capacité de résilience
- La réalisation de soi
Les compétences psychosociales jouent un rôle important dans:
- La diminution de certains troubles mentaux comme l’anxiété ou la dépression
- L’augmentation du sentiment d’efficacité parentale
- La construction de liens d’attachement sécurisants
Mais alors, que faire lorsque l’enfant, pour de multiples raisons, ne peut pas créer de lien d’attachement de qualité et développer correctement ses compétences de vie ? Est-ce que cela veut dire que tout est perdu ? La réponse est non, et heureusement!
→ Voir notre article sur la prévention précoce
« Il est important de garder en tête que tout ne se joue pas avant six ans, comme il est possible de l’entendre. Tout se joue tout le temps, en permanence. Par exemple, à l’adolescence, le rôle des parents va aussi être fondamental. »
– Edouard Gentaz
- Réseau d'écoles 21 - réseau d’intervention précoce en milieu scolaire
- “Tina et Toni” - programme gratuit de prévention globale pour les enfants de 4 à 6 ans
- #MoiCMoi - promotion de la santé psychique des adolescent·e·s basée sur les compétences psychosociales
- La théorie de l'attachement - parents naturellement
- Comment renforcer la santé mentale de mon enfant? Pour les parents d'enfants âgés de 6 à 12 ans - Take Care, Pédiatrie Suisse
- La promotion de la santé psychique dans la petite enfance - Promotion Santé Suisse
- Conférence avec Dr. Cyrulnik sur Santé, traumatismes et attachement
- Des âmes et des saisons, Psycho-écologie – Boris Cyrulnik
- Il reste encore beaucoup à faire en Suisse en matière de politique familiale - Projuventute
- Les 1000 premiers jours, là où tout commence – rapport du Ministère des solidarités et de la santé
- Les 1000 premiers jours de la vie une période cruciale pour la vie – Planète Santé
- Observatoire national de l’enfance en danger – la théorie de l’attachement
- Lamboy, B., Fortin, J., Azorin, J. C., & Nekaa, M. (2015). Développer les compétences psychosociales chez les enfants et les jeunes. La Santé en action, 431
- La petite enfance est le champ d’intervention le plus important de la prévention – Spectra
- Pereira, A., Dubath, C. et Trabichet, A.-M., (2021), Les déterminants de la santé mentale: Synthèse de la littérature scientifique (minds 01/2021). Genève: minds – Promotion de la santé mentale à Genève.
- Balbernie, R. (2013). The importance of secure attachment for infant mental health. Journal of Health Visiting, 1(4), 210-217.
- Fryers, T., & Brugha, T. (2013). Childhood determinants of adult psychiatric disorder. Clinical Practice and Epidemiology in Mental Health, 9.
- Guedeney, A., Grasso, F., & Starakis, N. (2004). Le séjour en crèche des jeunes enfants: sécurité de l'attachement, tempérament et fréquence des maladies. La psychiatrie de l'enfant, 47(1), 259-312.
- Sobhi-Gharamaleki, N., & Rajabi, S. (2010). Efficacy of life skills training on increase of mental health and self esteem of the students. Procedia-Social and Behavioral Sciences, 5, 1818-1822.