Les hommes* face au labyrinthe de leurs émotions
Dans l’esprit populaire, les femmes** seraient vulnérables et victimes de leurs émotions tandis que les hommes seraient forts et impassibles. D’où vient cette croyance ? De nombreuses études montrent qu’il est souvent plus difficile pour les hommes que pour les femmes d’identifier et d’exprimer leurs émotions et de demander de l’aide (1). Pourtant, tout être humain, quel que soit son sexe ou son genre, ressent des émotions et doit apprendre à les gérer (2). Alors pourquoi est-il parfois si compliqué pour un homme de se montrer vulnérable ? Pourquoi est-ce un tel tabou ? Et quelles en sont les conséquences pour la santé mentale des hommes et celle de leur entourage ?
Les hommes* face au labyrinthe de leurs émotions
Dans l’esprit populaire, les femmes** seraient vulnérables et victimes de leurs émotions tandis que les hommes seraient forts et impassibles. D’où vient cette croyance ? De nombreuses études montrent qu’il est souvent plus difficile pour les hommes que pour les femmes d’identifier et d’exprimer leurs émotions et de demander de l’aide (1). Pourtant, tout être humain, quel que soit son sexe ou son genre, ressent des émotions et doit apprendre à les gérer (2). Alors pourquoi est-il parfois si compliqué pour un homme de se montrer vulnérable ? Pourquoi est-ce un tel tabou ? Et quelles en sont les conséquences pour la santé mentale des hommes et celle de leur entourage ?
Les hommes* face au labyrinthe de leurs émotions
Dans l’esprit populaire, les femmes** seraient vulnérables et victimes de leurs émotions tandis que les hommes seraient forts et impassibles. D’où vient cette croyance ? De nombreuses études montrent qu’il est souvent plus difficile pour les hommes que pour les femmes d’identifier et d’exprimer leurs émotions et de demander de l’aide (1). Pourtant, tout être humain, quel que soit son sexe ou son genre, ressent des émotions et doit apprendre à les gérer (2). Alors pourquoi est-il parfois si compliqué pour un homme de se montrer vulnérable ? Pourquoi est-ce un tel tabou ? Et quelles en sont les conséquences pour la santé mentale des hommes et celle de leur entourage ?
Les hommes* face au labyrinthe de leurs émotions
Dans l’esprit populaire, les femmes** seraient vulnérables et victimes de leurs émotions tandis que les hommes seraient forts et impassibles. D’où vient cette croyance ? De nombreuses études montrent qu’il est souvent plus difficile pour les hommes que pour les femmes d’identifier et d’exprimer leurs émotions et de demander de l’aide (1). Pourtant, tout être humain, quel que soit son sexe ou son genre, ressent des émotions et doit apprendre à les gérer (2). Alors pourquoi est-il parfois si compliqué pour un homme de se montrer vulnérable ? Pourquoi est-ce un tel tabou ? Et quelles en sont les conséquences pour la santé mentale des hommes et celle de leur entourage ?
Les hommes* face au labyrinthe de leurs émotions
Dans l’esprit populaire, les femmes** seraient vulnérables et victimes de leurs émotions tandis que les hommes seraient forts et impassibles. D’où vient cette croyance ? De nombreuses études montrent qu’il est souvent plus difficile pour les hommes que pour les femmes d’identifier et d’exprimer leurs émotions et de demander de l’aide (1). Pourtant, tout être humain, quel que soit son sexe ou son genre, ressent des émotions et doit apprendre à les gérer (2). Alors pourquoi est-il parfois si compliqué pour un homme de se montrer vulnérable ? Pourquoi est-ce un tel tabou ? Et quelles en sont les conséquences pour la santé mentale des hommes et celle de leur entourage ?
Les hommes* face au labyrinthe de leurs émotions
Dans l’esprit populaire, les femmes** seraient vulnérables et victimes de leurs émotions tandis que les hommes seraient forts et impassibles. D’où vient cette croyance ? De nombreuses études montrent qu’il est souvent plus difficile pour les hommes que pour les femmes d’identifier et d’exprimer leurs émotions et de demander de l’aide (1). Pourtant, tout être humain, quel que soit son sexe ou son genre, ressent des émotions et doit apprendre à les gérer (2). Alors pourquoi est-il parfois si compliqué pour un homme de se montrer vulnérable ? Pourquoi est-ce un tel tabou ? Et quelles en sont les conséquences pour la santé mentale des hommes et celle de leur entourage ?
Les hommes* face au labyrinthe de leurs émotions
Dans l’esprit populaire, les femmes** seraient vulnérables et victimes de leurs émotions tandis que les hommes seraient forts et impassibles. D’où vient cette croyance ? De nombreuses études montrent qu’il est souvent plus difficile pour les hommes que pour les femmes d’identifier et d’exprimer leurs émotions et de demander de l’aide (1). Pourtant, tout être humain, quel que soit son sexe ou son genre, ressent des émotions et doit apprendre à les gérer (2). Alors pourquoi est-il parfois si compliqué pour un homme de se montrer vulnérable ? Pourquoi est-ce un tel tabou ? Et quelles en sont les conséquences pour la santé mentale des hommes et celle de leur entourage ?
Les émotions : les antennes de notre cerveau
Nos émotions, c’est ce que nous ressentons en réaction à quelque chose qui se passe autour de nous (3). Tout le monde ressent des émotions, elles sont indispensables pour fonctionner au quotidien. Les ignorer, c’est ne pas prendre en compte des messages précieux envoyés par notre cerveau. Par exemple, si nous voyons un essaim d’abeilles, nous allons ressentir de la peur, ce qui va nous pousser à nous en éloigner. A l’inverse, le sentiment de joie apporté par l’apprentissage d’un instrument de musique ou d’un sport va nous pousser à continuer de développer cette pratique. Les émotions agréables comme désagréables sont ainsi essentielles à notre bien-être. Mais attention, cela ne veut pas dire que nos émotions justifient toutes nos actions ! Il faut les considérer comme des signaux coexistant avec d’autres éléments (contexte, personnes présentes, enjeux, objectifs, etc.) qui nous aident à prendre des décisions au quotidien.
Le fait de ne pas tenir compte de nos émotions, d’avoir du mal à les identifier, de refuser de les accepter ou de les retenir en nous est lié à une moins bonne santé mentale et à une souffrance accrue (4). Pourtant, c’est ce que font beaucoup de personnes, et en particulier les hommes (1).
Ça veut dire quoi, bien gérer ses émotions ?
Bien gérer ses émotions veut dire être capable de :
- Identifier ce que l’on ressent
- Comprendre et accepter ce que l’on ressent
- Communiquer ce que l’on ressent
- Réguler ses émotions de manière adaptée, en agissant sur la durée et l’intensité des émotions grâce à des stratégies adaptées et pas simplement en les refoulant
Pourquoi les hommes ont plus de difficultés à gérer leurs émotions ?
Les compétences émotionnelles font partie de ce que l’on appelle les compétences psychosociales. Ce sont des compétences essentielles à la vie en société (5). Elles se divisent en 3 grandes catégories :
- Compétences interpersonnelles et de communication
- Compétences décisionnelles et de pensée critique
- Compétences adaptatives et d'autogestion (émotionnelles)
Malheureusement, dès l'enfance, les petits garçons ne sont pas encouragés à développer leurs compétences émotionnelles, considérées comme plus féminines. Au sein de la famille, à l'école, au club de sport, au journal TV, nous sommes tou·tes exposé·es, tous les jours, à de nombreux clichés sur ce que doit être un homme (6) et personne n'échappe aux stéréotypes de genre ! Les petits garçons apprennent ainsi très tôt qu’ils doivent se montrer forts et insensibles, de peur d’être rejetés, isolés voire harcelés par leurs pairs (6). Tout comportement qui s'éloigne des normes masculines traditionnelles, ou qui ne correspond pas aux attentes hétérosexuelles, est fortement sanctionné par la société : une fille peut pleurer lorsqu’elle est triste, tandis qu’un garçon en larmes sera tout de suite perçu comme faible ou “trop sensible” (6,7).
La colère comme parapluie
Ignorer ses émotions, un danger pour soi et pour les autres
Par peur d’être rejeté·es ou jugé·es, certaines émotions étant moins admises que d’autres par la société, il est parfois tentant de les ignorer ou même les refouler. Ce faisant, nous nous coupons de nous-même et nous n'apprenons pas à nous connaître et à gérer nos émotions sainement. Plutôt que d’accepter la vulnérabilité, certains hommes ont par exemple tendance à utiliser la colère comme une “émotion parapluie”. Parce que c’est une émotion plus communément acceptée chez les hommes, la colère prend alors le dessus et agit comme un écran de fumée face à d’autres émotions désagréables comme la tristesse, le désespoir ou la honte (8). Cette surutilisation de la colère peut mener à des comportements problématiques, notamment de l'agressivité et de la violence (8).
“En Suisse en 2023, environ 80% des personnes prévenues pour infractions de violence sont des hommes.” (9)
Renforcer ses relations grâce aux émotions
Le manque de compétences émotionnelles a aussi une influence importante sur les relations que l’on entretient avec les autres au quotidien. La peur de la vulnérabilité mène à une impossibilité pour certains hommes de partager leurs difficultés, notamment émotionnelles, avec leur entourage (1). Et pourtant, éviter tout ce qui relève des émotions ne favorise pas le développement de relations fortes avec les autres, et a fortiori entre hommes. On constate ainsi que les hommes ont un moins bon réseau de soutien social que les femmes (10), et qu’ils apportent un soutien de moins bonne qualité à leur entourage (11). Le lien social est pourtant une composante absolument essentielle de notre santé mentale (12). Sans relations authentiques et humaines, et donc basées sur les émotions, notre santé mentale dégringole !
Attention, les hommes ne sont pas incapables de se montrer vulnérables ! Mais c'est bien souvent avec des femmes, et la plupart du temps auprès de leur compagne, que leur vulnérabilité s’exprime (13). Ces dernières deviennent alors leur principale, voire unique, source de soutien émotionnel (réconfort, amour, affection, etc.) (13). Cela ne signifie pas que les hommes ne se soutiennent pas du tout entre eux ! Cependant, ce soutien est plutôt de type pratique : aider à déménager, aider financièrement, prêter un véhicule, etc. (13)
S’adresser uniquement aux femmes pour ce soutien peut induire une dépendance émotionnelle envers ces dernières, et faire peser une charge émotionnelle démesurée sur leurs épaules (13). C’est une des raisons avancées pour expliquer que les ruptures amoureuses peuvent être particulièrement mal vécues par les hommes, qui perdent alors la seule personne avec laquelle ils se permettent d’être vulnérables (14).
“En Suisse, en 2017, 31.6% des hommes déclarent se sentir parfois à très souvent seuls.” (15)
Garder le silence… jusqu’à la crise
Il est impossible d’échapper aux difficultés et aux coups durs de la vie. Tout le monde souffre, c'est OK et c’est normal ! Il est donc essentiel de savoir comment réagir lorsque l’on va moins bien afin d’être capable de trouver l’aide dont on a besoin pour aller mieux (12). Cependant, toutes les études montrent qu'il faut être capable de ressentir, d'identifier et de vivre ses émotions pour trouver le bon soutien, au bon moment, autrement dit de faire preuve de bonnes compétences émotionnelles.
Ces difficultés présentes à toutes les étapes du processus de recherche d’aide poussent souvent les hommes à garder le silence jusqu’à la crise (16).
“Seul 40% de la clientèle des cabinets psy en Suisse est masculine.” (15)
Les émotions : tout le monde y gagne !
Les compétences psychosociales sont absolument nécessaires à la vie en société, et les compétences émotionnelles en font partie. Elles sont par ailleurs aujourd'hui considérées comme essentielles à bon nombre d’emplois de management, et enseignées dans les hautes écoles. Il est donc plus que temps de cesser de prétendre qu’une moitié de la population n’en a pas besoin. Les hommes aussi ont des émotions à ressentir, à exprimer mais aussi à gérer pour améliorer leur bien-être et celui de leur entourage. Voici plusieurs actions que nous pouvons envisager :
- Créer et soutenir des programmes dédiés à déconstruire les stéréotypes de genre et à développer les compétences psychosociales dès le plus jeune âge
- Créer des espaces de libération de la parole masculine où les hommes de tous horizons peuvent venir partager leur vécu sans jugement
- Ne pas mettre tous ses oeufs dans le même “panier émotionnel” : compter uniquement sur une personne pour son soutien émotionnel crée une dépendance envers cette personne. Il vaut mieux avoir des ami·es en dehors de cette relation sur lesquel·les on sait que l’on peut aussi compter.
- Libérer la parole : en tant qu’homme, oser parler de ses soucis avec les hommes qui nous entourent et encourager la libération de la parole autour des émotions et de la santé mentale.
*Tout individu qui se reconnaît en tant qu'homme ou socialisé en tant que tel
**Tout individu qui se reconnaît en tant que femme ou socialisé en tant que tel
Pour être écouté·e et aidé·e :
- Cercles d’écoute : pour expérimenter les bienfaits de l’écoute véritable
- Cercles de parole entre hommes
- Info-Entraide Suisse : pour trouver des groupes d’entraide sur divers sujets en Suisse
- Dialogai : Lieu d’écoute, de convivialité, de partage, de rencontre, d’information, d’accueil et de conseils pour les personnes LGBTIQ+
- Vogay : Accueil, écoute et accompagnement pour les personnes LGBTIQ+
- La Main Tendue 143 : numéro d’appel disponible 24/24h et 7/7j
- Tester Sporthérapsy qui combine pratique sportive et thérapie
- Plateforme Je peux en parler pour aider un·e ami·e, mieux te connaître, poser tes limites, entamer l'échange et le poursuivre en toute bienveillance
Pour développer ses compétences psychosociales :
- Association de communication non-violente : pour développer ses compétences de communication et se connecter aux autres
- Programme “As de coeur” pour la prévention des violences et comportements abusifs dans les relations amoureuses chez les jeunes
- Programme MenCare : pour la promotion de l’engagement des pères et de la participation des hommes au domaine des soins en général et pour mieux comprendre l’influence de “l’éducation genrée masculine” sur la société et les individus
- Programme “Masculinités contemporaines : sexe posé ou s’exposer” pour aborder la question des masculinités avec des jeunes en milieu non scolaire entre 12 et 25 ans dans le canton de Genève
- NOUSSOMMES : association de prévention des violences sexistes et sexuelles à travers le travail pédagogique et inclusif à destination des hommes et des jeunes générations
- “L’épidémie de solitude” chez les hommes : Comment en sommes-nous arrivés là et que pouvons-nous faire ? (05.04.2024) Ouest France
- Dossier de minds sur les bienfaits du soutien social pour la santé mentale : Les autres c’est fantastique !
- Infographie de minds : Les supers pouvoirs des relations humaines
- Infographie de minds : Les multiples bienfaits du soutien social
- Visionner le minds talk : Comment se soutenir dans les coups durs de la vie ?
- Visionner le minds talk : Quelle place donner à nos émotions au travail ?
- Article minds : Demander de l’aide : un acte de courage
- RTS : Une expérience pour montrer comment les parents perpétuent les clichés sexistes
- “Au-delà de l’injonction à « être un homme » − Parler de santé mentale avec les hommes dans sa vie” (15.11.2023) Canadian Mental Health Association
- “Real People, Real Stories” : témoignages en anglais d’hommes ayant vécus des périodes difficiles qui encouragent les autres à chercher de l’aide en cas de besoin
- Podcast MASC’OFF, Rap et masculinité(s)
- Le rapport “facteur M” qui lie masculinité et risque de crime violent
- Sri Harianti, W. (2023). Social Construct of Masculinity Towards Mental Health : A Literature Review. European Journal of Behavioral Sciences, 6(3), 69‑83. https://doi.org/10.33422/ejbs.v6i3.1103
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